Avenues


        Les avenues sont grouillantes, on regarde plus haut pour une architecture régulière. Le journal coûte deux pièces, les mains vives l'ouvrent, pendant la marche. Devant le camion au carrefour où les taxis deviennent jaunes, on mange sur le pouce. Tout près, l'aveugle joue de l'harmonica et ses mots sont d'une poésie expresse.


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POÉSIE CONTEMPORAINE... peut-être

TOUS LES TEXTES SONT PROTÉGÉS [page WIKIPEDIA]. Ils sont la propriété exclusive de Fabrice Farre.







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